Taux vibratoire en radiesthésie : Unité Bovis

Vous vous sentez épuisé sans raison, ou cherchez à comprendre les déséquilibres énergétiques ? Le taux vibratoire en radiesthésie, mesuré via l’échelle de Bovis, pourrait être la clé pour évaluer votre vitalité. Dans cet article, nous explorerons comment cette pratique subjective, bien que non validée scientifiquement, permet à certains de détecter des pertes d’énergie liées au stress, à l’environnement ou aux émotions. Découvrez les repères du Bovis, les facteurs qui influencent votre taux vibratoire, et des conseils concrets pour l’optimiser au quotidien — une approche holistique pour ceux qui s’intéressent aux soins énergétiques et à l’harmonisation de leur bien-être.

1. Qu’est-ce que le taux vibratoire en radiesthésie ? Une définition claire
2. L’échelle de Bovis : l’outil de mesure emblématique du taux vibratoire
3. Le taux vibratoire, un outil au service des soins énergétiques
4. Comment augmenter son taux vibratoire au quotidien : nos conseils pratiques

Qu’est-ce que le taux vibratoire en radiesthésie ? Une définition claire

La radiesthésie repose sur l’idée que tout émet une énergie. Le taux vibratoire mesure cette fréquence énergétique, une donnée fondamentale pour évaluer l’état d’un être, d’un lieu ou d’un objet.

La vibration au cœur du vivant : une perception radiesthésique

Pour les radiesthésistes, chaque élément possède une énergie propre. Le taux vibratoire traduit cette fréquence énergétique, captée de manière subjective par le praticien.

Contrairement à une mesure scientifique, ce taux dépend de l’interprétation du radiesthésiste. Il n’est pas détectable par des appareils de laboratoire mais se révèle par l’utilisation d’outils comme le pendule.

Sa valeur sert à évaluer l’équilibre énergétique. Pour une personne, il peut indiquer un état de vitalité ou de fatigue. Pour un lieu, il révèle des influences énergétiques. Même un aliment peut être analysé pour sa vitalité, avec des taux variant de 1 000 à 18 000 Unités Bovis selon son état.

Le radiesthésiste et son pendule : les outils de la mesure

Le radiesthésiste agit comme un intermédiaire entre le monde visible et les énergies subtils. À travers un entraînement personnel, il affine sa sensibilité pour capter ces vibrations.

Son outil principal est le pendule, objet simple mais puissant. Ce dernier fonctionne grâce à l’effet idéomoteur, des mouvements neuromusculaires inconscients du praticien qui s’expriment à travers l’instrument.

Avant d’utiliser le pendule, le radiesthésiste établit une « convention mentale » pour interpréter les mouvements (rotation à droite = oui, à gauche = non, etc.). Bien que d’autres outils existent, comme la baguette ou l’antenne de Lecher, le pendule reste l’instrument le plus emblématique de la radiesthésie.

Un bref historique pour mieux comprendre : de la sourcellerie à la radiesthésie

La radiesthésie est donc l’art de percevoir les radiations ; le taux vibratoire en est l’une des mesures les plus fondamentales pour évaluer l’énergie d’un sujet.

Les pratiques divinatoires avec des outils comme la baguette de sourcier remontent à l’Antiquité. Cependant, le terme « radiesthésie » n’apparaît qu’en 1926, introduit par l’abbé Bouly.

Ce mot, composé du latin « radius » (rayon) et du grec « aisthêsis » (sensation), cherche à institutionnaliser ces méthodes anciennes en leur donnant un cadre théorique. Bien que certains scientifiques s’y soient intéressés, la communauté scientifique actuelle la classe comme pseudoscience.

Pour mesurer ces énergies, l’Unité Bovis (UB) est parfois utilisée. Elle tire son nom d’André Bovis, radiesthésiste qui a développé un système de mesure. Un taux sain pour l’humain oscille entre 10 000 et 30 000 UB, tandis qu’un aliment frais peut atteindre 9 000 à 15 000 UB.

Ces mesures, bien que subjectives, guident les praticiens dans l’analyse des déséquilibres énergétiques. Un taux bas peut signaler un état de faiblesse, tandis qu’un taux élevé s’associe souvent à un bon niveau de vitalité.

L’échelle de Bovis : l’outil de mesure emblématique du taux vibratoire

Qui était André Bovis et qu’est-ce que l’Unité Bovis (UB) ?

André Bovis, physicien et radiesthésiste français du début du XXe siècle, a cherché à quantifier la « vitalité » des éléments naturels. Son invention, l’Unité Bovis (UB), est devenue un référentiel pour mesurer les énergies subtiles. Il a développé un « biomètre », une échelle graduée de 0 à 10 000 UB, pour évaluer la force vitale des aliments, lieux et êtres vivants.

Selon ses recherches, inspirées par les propriétés énergétiques des pyramides égyptiennes, une alimentation fraîche et biologique dépasserait 9 000 UB, contre 6 000 à 7 000 UB pour les aliments transformés. Les lieux sacrés, comme le Machu Picchu (4,5 millions d’UB) ou la cathédrale de Chartres (400 000 UB), illustreraient des énergies exceptionnelles. Cette unité, popularisée par des praticiens comme André Simoneton, reste subjective. Elle n’a pas de définition scientifique objective et n’est pas reconnue par la communauté scientifique. Pourtant, elle sert de repère courant dans les pratiques énergétiques, reflétant des perceptions personnelles plutôt que des données mesurables.

Comment utiliser un cadran de Bovis avec un pendule ?

Pour mesurer un taux vibratoire, le radiesthésiste utilise un pendule et un cadran de Bovis. Ce dernier est une règle ou un demi-cercle gradué jusqu’à 10 000, 20 000 UB voir beaucoup plus. La méthode commence par une préparation : le praticien se recentre, élimine les interférences et place un « témoin » (photo, objet) près du cadran pour se connecter au sujet.

Après calibration du pendule (reconnaissance des mouvements « oui » et « non »), la question est posée mentalement : « Quel est le taux vibratoire de [sujet] ? » Le pendule, tenu au-dessus du centre du cadran, indique ensuite une valeur par son oscillation. Cette pratique, bien que controversée, est utilisée pour détecter les déséquilibres énergétiques dans des lieux, objets ou personnes. Par exemple, un taux inférieur à 10 000 UB pour une personne pourrait signaler un état de fatigue chronique, tandis qu’un taux supérieur à 30 000 UB serait associé à un bien-être énergétique optimal.

Le regard de la science sur la mesure en Unités Bovis

La communauté scientifique considère la radiesthésie comme une pseudoscience. L’expérience de Munich (1986-1988) a testé 100 radiesthésistes sans trouver de résultats supérieurs au hasard. Les mouvements du pendule sont expliqués par l’effet idéomoteur : des micro-déplacements musculaires inconscients influencés par les attentes du praticien.

Contrairement aux méthodes scientifiques exigeant des mesures reproductibles, le taux vibratoire dépend de la subjectivité de l’opérateur. Cette absence de standardisation interdit toute validation empirique. Bien que certains adeptes affirment mesurer jusqu’à 4,5 millions d’UB dans des lieux sacrés, ces chiffres restent invérifiables et éloignés des protocoles rigoureux de la physique. Les critiques internes à la radiesthésie soulignent aussi l’arbitraire du système, certains praticiens remettant en cause sa pertinence face à l’absence de lien établi entre UB et lois physiques.

L’échelle de Bovis, inventée au début du XXe siècle par le radiesthésiste français André Bovis, permet d’évaluer l’état énergétique d’un être vivant, d’un objet ou d’un lieu. Cette méthode utilise un pendule et une règle graduée en Unités Bovis (UB) pour capter les mouvements oscillatoires perçus par le praticien. Selon les recherches d’André Simoneton dans les années 1940, chaque élément émet des radiations mesurables à travers cette échelle, avec les aliments « supérieurs » (fruits frais, légumes crus) mesurant entre 7 000 et 9 000 UB contre 3 000 à 6 000 UB pour les aliments transformés.

Les facteurs qui font chuter notre énergie vitale

Plusieurs éléments perturbent l’équilibre vibratoire d’un individu. Ces influences négatives, bien que subjectives, sont régulièrement observées par les praticiens de la radiesthésie lors de mesures avec le pendule. Il s’agit de facteurs modifiables qui peuvent expliquer les variations sur l’échelle de Bovis.

• Les pensées et émotions négatives : Le stress, la peur, la colère, la tristesse sont considérés comme ayant une « basse fréquence« . L’amour vibre à 500 Hz tandis que la peur plafonne à 100 Hz, confirmant cet impact énergétique.
• Une hygiène de vie déséquilibrée : Alimentation industrielle et dévitalisée, manque de sommeil, sédentarité, consommation de tabac ou d’alcool. Les aliments transformés perdent jusqu’à 2 000 UB par rapport aux aliments crus et frais.
• Un environnement « pollué » : Perturbations géobiologiques du lieu de vie (failles, cours d’eau souterrains), exposition aux champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, 4G/5G). Ces éléments perturbent le champ énergétique personnel, avec des mesures souvent inférieures à 10 000 UB dans les zones à haute densité d’ondes.
• Les relations toxiques : Être entouré de personnes négatives ou « énergivores ». Ces interactions créent un déséquilibre énergétique comparable à un circuit électrique court-circuité.

Les variations du taux vibratoire reflètent une dynamique entre l’être humain et son environnement. Les radiesthésistes utilisent cette approche empirique pour guider leurs pratiques bien que non validée scientifiquement. Les mouvements du pendule traduisent aussi les capacités d’adaptation énergétique d’une personne, avec des cadrans évolués permettant de mesurer jusqu’à 60 000 UB pour les lieux sacrés comme Machu Picchu (4,5 millions d’UB), où les visiteurs rapportent des sensations physiques inhabituelles.

Le taux vibratoire, un outil au service des soins énergétiques

Un indicateur de vitalité pour le thérapeute

En radiesthésie, le taux vibratoire est un outil central pour évaluer l’état énergétique d’un individu. Les praticiens en soins énergétiques à distance ou en présentiel utilisent cette mesure pour identifier les déséquilibres énergétiques. Un taux compris entre 10 000 et 30 000 Unités Bovis (UB) est associé à un état de santé équilibré, tandis qu’un niveau inférieur à 9 500 UB peut signaler la nécessité d’une harmonisation des chakras ou d’une thérapie ciblée sur les blocages émotionnels.

La procédure repose sur l’utilisation d’un pendule, l’instrument emblématique de la radiesthésie. Le praticien place l’objet au-dessus d’un biomètre de Bovis, une règle graduée en unités spécifiques, et observe les oscillations. Ces mouvements, interprétés comme des réponses énergétiques, aident à orienter les séances.

Mesurer l’efficacité d’un soin et suivre les progrès

Le suivi des variations du taux vibratoire constitue un pilier de l’évaluation thérapeutique.

« Pour le praticien, la variation du taux vibratoire avant et après un soin est un puissant indicateur de l’harmonisation énergétique qui a été opérée. »

Une montée de 15 % à 25% du taux vibratoire après une séance est souvent perçue comme un signal de régénération, même si cette perception dépend de la sensibilité du radiesthésiste. Par exemple, un passage de 8 700 UB (associé à la dépression) à 20 000 UB après trois séances pourrait indiquer un début de stabilisation, bien que le taux reste dans une zone nécessitant une attention soutenue.

Les praticiens combinent ces mesures à d’autres pratiques, comme l’utilisation de cristaux ou l’harmonisation des lieux. Un taux vibratoire bas, influencé par des facteurs externes (champs électromagnétiques, géobiologie), peut être corrigé en ajustant l’environnement du patient. Un thérapeute pourrait ainsi recommander une purification énergétique d’un lieu de vie, associée à des techniques de respiration profonde, pour faire passer un taux de 10 000 UB (fatigue chronique) à 20 000 UB. Ces ajustements, bien que subjectifs, offrent un cadre d’évolution tangible pour le patient.

Comment augmenter son taux vibratoire au quotidien : nos conseils pratiques

L’alimentation vivante et l’hydratation consciente

Les aliments crus ou peu cuits (fruits, légumes bio, graines germées) vibrent entre 9 000 et 10 000 UB, contre 6 000 à 7 000 UB pour les plats transformés. Optez pour des produits frais et locaux : une pomme récoltée directement est plus énergétique qu’une pomme stockée des mois. Les aliments cuits à haute température perdent leur énergie vitale, ce qui peut déséquilibrer votre taux vibratoire global.

Pour dynamiser votre eau, ajoutez du jus de citron bio, exposez-la au soleil dans une bouteille en verre ou utilisez des pierres comme la shungite, réputée pour purifier et restructurer l’eau. Des carafes à vortex imitent les mouvements naturels des rivières, renforçant sa vitalité. L’eau, constituant majeur de votre corps, reste essentielle pour l’hydratation cellulaire et l’équilibre énergétique.

Cultiver des pensées positives et un environnement sain

Vos émotions agissent directement sur votre énergie. La gratitude ou l’amour (jusqu’à 600 Hz) élèvent votre taux vibratoire, tandis que la peur ou la colère le baissent (sous 200 Hz). Méditez avec des sons apaisants (432 Hz) ou pratiquez la cohérence cardiaque (5 secondes d’inspiration, 5 d’expiration) pour calmer le système nerveux. Tenir un journal de gratitude quotidiennement réduit le stress et recentre l’énergie.

Votre espace de vie doit être un refuge énergétique. Aérez quotidiennement et captez la lumière naturelle. En cas de doutes sur l’énergie d’un lieu, un géobiologue peut identifier des perturbations (réseaux Hartmann, courants telluriques) et les corriger avec des cristaux comme le quartz ou l’améthyste. Les balades en forêt ou en bord de mer offrent un renouvellement énergétique rapide grâce aux ions négatifs présents dans l’air.

Une hygiène de vie globale pour une énergie au sommet

Pour optimiser votre énergie, combinez ces pratiques :

• La respiration : Pratiquez la cohérence cardiaque 5 minutes quotidiennement (5 secondes d’inspiration, 5 d’expiration) pour réduire le cortisol. Le pranayama, technique yogique, capte le prana (énergie vitale) via des exercices spécifiques.
• Le mouvement : Le yoga Hatha stimule les méridiens énergétiques. La marche en pleine nature active la production de sérotonine grâce à la lumière et aux phytoncides des arbres, renforçant le bien-être.
• Le contact avec la nature : L’hearthing (marcher pieds nus) restaure l’équilibre énergétique en restituant les électrons de la Terre. Cela améliore le sommeil et réduit l’inflammation chronique.
• La musique : Les fréquences bienveillantes (432 Hz, chants de mantras) harmonisent les vibrations internes. Évitez les sons agressifs ou les discours anxiogènes, qui déséquilibrent temporairement le taux vibratoire.

Pour approfondir ces méthodes, découvrez d’autres techniques de bien-être sur notre blog. Une alimentation vivante, un environnement énergétique équilibré et des émotions positives forment une base solide pour maintenir un taux vibratoire élevé. Ces pratiques, combinées sur le long terme, aident à préserver vitalité et équilibre physique comme mental.

Le taux vibratoire en radiesthésie, mesuré en Unités Bovis, reste un outil subjectif pour évaluer l’énergie vitale d’un individu ou d’un lieu. Bien non reconnu scientifiquement, il guide certains praticiens dans l’harmonisation énergétique. Son interprétation, liée à la sensibilité du radiesthésiste, invite à une approche holistique de la santé, combinant bien-être physique, émotionnel et environnemental.

FAQ

Quel est considéré comme un bon taux vibratoire en radiesthésie ?

En radiesthésie, un bon taux vibratoire pour un être humain en bonne santé se situe généralement entre 10 000 et 30 000 Unités Bovis (UB). Cette fourchette correspond au plan physique et symbolise un équilibre énergétique optimal. Au-delà de 30 000 UB, on entre dans les plans énergétiques et spirituels, associés à une vitalité exceptionnelle ou à une connexion accrue à l’énergie universelle. Une valeur inférieure à 10 000 UB est interprétée comme un signe de vulnérabilité face aux déséquilibres physiques ou émotionnels.

Un taux vibratoire de 30 000 Unités Bovis est-il courant chez l’humain ?

Un taux vibratoire de 30 000 UB est possible, mais il se situe dans la tranche supérieure de l’échelle de Bovis, associée au plan énergétique ou spirituel. Il peut refléter un état de vitalité exceptionnelle, une pratique régulière de soins énergétiques, ou une ouverture spirituelle avancée. Cependant, ce niveau peut aussi indiquer une surexcitation temporaire. Il est important de noter que cette mesure, bien qu’utile dans le cadre d’un suivi énergétique, reste subjective et non scientifiquement validée.

Comment expliquer simplement le concept de la radiesthésie ?

La radiesthésie est une pratique divinatoire basée sur la perception de « radiations » énergétiques émises par les êtres, les objets ou les lieux. Elle utilise des outils comme le pendule ou la baguette pour capter ces vibrations, interprétées ensuite par le praticien. Bien que ses origines remontent aux traditions anciennes, elle n’est pas reconnue par la communauté scientifique, les mouvements du pendule étant souvent attribués à l’effet idéomoteur. Néanmoins, elle reste un outil d’exploration énergétique prisé dans les approches holistiques.

Quel est le taux vibratoire considéré comme normal pour une maison ?

Pour un lieu d’habitation, un taux vibratoire idéal se situe entre 10 000 et 30 000 UB, similaire à celui d’un humain en bonne santé. Un taux inférieur à 10 000 UB peut indiquer des perturbations géobiologiques (cours d’eau souterrains, failles) ou des champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, antennes). Pour améliorer cette énergie, des solutions comme l’aération, l’utilisation de pierres purifiantes (ex. : shungite), ou l’intervention d’un géobiologue sont souvent recommandées.

Comment déterminer la fréquence à laquelle une personne vibre ?

Pour mesurer son taux vibratoire, le radiesthésiste utilise un pendule et un cadran de Bovis. Après une phase de concentration, le pendule est placé au-dessus du cadran et son mouvement indique la valeur en Unités Bovis. Cette approche, bien qu’accessible, repose sur la sensibilité et l’entraînement du praticien. Des outils comme les « témoins » (photos, objets personnels) peuvent également être utilisés pour se connecter à l’énergie de la personne.

Quelles pratiques permettent de libérer son énergie positive ?

Pour élever son taux vibratoire, plusieurs méthodes sont préconisées :

• Alimentation : Privilégier les aliments bio, frais et locaux (9 000-10 000 UB), éviter les produits ultra-transformés (6 000-7 000 UB).
• Environnement : Aérer les espaces, limiter l’exposition aux ondes, et utiliser des pierres comme la shungite.
• Mental : Cultiver la gratitude, pratiquer la méditation, et éviter les pensées négatives.
• Mouvement : Marche en pleine nature, yoga, ou danse pour libérer les tensions.

Pourquoi est-il bénéfique d’avoir un taux vibratoire élevé ?

Un taux vibratoire élevé (au-delà de 30 000 UB) est associé à une meilleure résistance aux stress, un système immunitaire renforcé, et une plus grande clarté mentale. Il facilite également l’harmonisation énergétique et une connexion accrue aux états de conscience supérieure. Sur le plan émotionnel, une énergie vitale élevée favorise l’équilibre émotionnel et l’attraction d’expériences positives, en cohérence avec la loi d’attraction.

Qu’est-ce qu’une Unité Bovis et comment l’interpréter ?

L’Unité Bovis (UB), nommée en l’honneur du physicien André Bovis, est une échelle subjective utilisée en radiesthésie pour quantifier la « vitalité » d’un être ou d’un objet. Par exemple, un légume bio peut atteindre 9 000 UB contre 6 000 UB pour son équivalent industriel. Bien que largement utilisée dans les soins énergétiques, cette unité manque de validation scientifique, les mesures étant influencées par l’interprétation du praticien.

Comment identifier une personne à taux vibratoire élevé ?

Une personne au taux vibratoire élevé (au-delà de 9 000 UB) se distingue souvent par une vitalité éclatante, une sérénité mentale, et une connexion naturelle aux énergies subtiles. Elle est généralement attirée par les pratiques spirituelles ou énergétiques, et son environnement immédiat (lieux, relations) tend à être harmonieux. À l’inverse, un taux bas (en dessous de 10 000 UB) peut se manifester par une fatigue chronique, des pensées négatives récurrentes, ou une sensibilité accrue aux influences extérieures.